Le Kazakhstan envisage d'inclure le chiffrement dans ses réserves nationales, accélérant ainsi la mise en place de sa stratégie d'actifs numériques.
La Banque nationale du Kazakhstan (NBK) explore activement la faisabilité d'intégrer le chiffrement dans les réserves souveraines et de change du pays, ce qui pourrait faire du Kazakhstan le premier pays d'Asie centrale à inclure des #chiffrement dans ses réserves officielles, rejoignant ainsi la course aux réserves internationales.
Le président de la NBK, Timur Suleimenov, a révélé lors d'une récente conférence de presse que la banque étudie l'expérience des fonds souverains norvégiens et des institutions d'investissement américaines et du Moyen-Orient, qui ont optimisé leurs portefeuilles en investissant directement dans le chiffrement ou des ETF associés.
Bien que Suleimenov reconnaisse le potentiel de rendement élevé des actifs de chiffrement, il souligne également la nécessité d'évaluer prudemment le risque de volatilité. Il déclare que ce n'est pas un sujet qui peut être décidé à la hâte, nous devons chercher un équilibre prudent entre rendement et risque.
De plus, le Kazakhstan prévoit de créer un fonds national d'obligation pour gérer les actifs de chiffrement saisis par les agents des forces de l'ordre. Ce fonds d'obligation devrait également acquérir davantage d'actifs de chiffrement grâce à des activités d'extraction légales. Le pays envisage également d'exiger que toutes les transactions de chiffrement soient effectuées sur des échanges reconnus par le Centre financier international d'Astana (AIFC).
Selon des informations, le Kazakhstan s'est lancé dans le chiffrement des devises numériques depuis 2017, bien que ces dernières n'aient pas été considérées comme une monnaie légale à l'époque, le gouvernement a néanmoins activement soutenu le développement de ce secteur.
En 2020, le président du pays, Tokayev, a annoncé un plan visant à renforcer les infrastructures pour positionner le pays en tête de ses voisins, avec un objectif d'attirer 1,2 milliard de dollars d'investissements en cinq ans. En 2021, le Kazakhstan est devenu le deuxième producteur mondial de taux de hachage de Bitcoin.
Bien que le Kazakhstan ait réalisé des progrès significatifs dans le domaine du chiffrement, l'indice d'adoption mondiale des cryptomonnaies de 2024 montre que le pays ne se classe qu'au 57e rang en termes de taux d'adoption au niveau du détail, ce qui indique que l'application des cryptomonnaies dans le secteur de la vente au détail doit encore être renforcée.
Dans l'ensemble, #Kazakhstan établit d'une part des normes de l'industrie par le biais de projets pilotes au niveau national (comme les réserves souveraines, les villes de chiffrement) et d'autre part contrôle les risques grâce à un système strict de licences d'échange. Ce modèle "officiel et dirigé + ouverture progressive" pourrait offrir un nouveau paradigme pour les pays riches en ressources cherchant à explorer la transformation de l'économie numérique.
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Le Kazakhstan envisage d'inclure le chiffrement dans ses réserves nationales, accélérant ainsi la mise en place de sa stratégie d'actifs numériques.
La Banque nationale du Kazakhstan (NBK) explore activement la faisabilité d'intégrer le chiffrement dans les réserves souveraines et de change du pays, ce qui pourrait faire du Kazakhstan le premier pays d'Asie centrale à inclure des #chiffrement dans ses réserves officielles, rejoignant ainsi la course aux réserves internationales.
Le président de la NBK, Timur Suleimenov, a révélé lors d'une récente conférence de presse que la banque étudie l'expérience des fonds souverains norvégiens et des institutions d'investissement américaines et du Moyen-Orient, qui ont optimisé leurs portefeuilles en investissant directement dans le chiffrement ou des ETF associés.
Bien que Suleimenov reconnaisse le potentiel de rendement élevé des actifs de chiffrement, il souligne également la nécessité d'évaluer prudemment le risque de volatilité. Il déclare que ce n'est pas un sujet qui peut être décidé à la hâte, nous devons chercher un équilibre prudent entre rendement et risque.
De plus, le Kazakhstan prévoit de créer un fonds national d'obligation pour gérer les actifs de chiffrement saisis par les agents des forces de l'ordre. Ce fonds d'obligation devrait également acquérir davantage d'actifs de chiffrement grâce à des activités d'extraction légales. Le pays envisage également d'exiger que toutes les transactions de chiffrement soient effectuées sur des échanges reconnus par le Centre financier international d'Astana (AIFC).
Selon des informations, le Kazakhstan s'est lancé dans le chiffrement des devises numériques depuis 2017, bien que ces dernières n'aient pas été considérées comme une monnaie légale à l'époque, le gouvernement a néanmoins activement soutenu le développement de ce secteur.
En 2020, le président du pays, Tokayev, a annoncé un plan visant à renforcer les infrastructures pour positionner le pays en tête de ses voisins, avec un objectif d'attirer 1,2 milliard de dollars d'investissements en cinq ans. En 2021, le Kazakhstan est devenu le deuxième producteur mondial de taux de hachage de Bitcoin.
Bien que le Kazakhstan ait réalisé des progrès significatifs dans le domaine du chiffrement, l'indice d'adoption mondiale des cryptomonnaies de 2024 montre que le pays ne se classe qu'au 57e rang en termes de taux d'adoption au niveau du détail, ce qui indique que l'application des cryptomonnaies dans le secteur de la vente au détail doit encore être renforcée.
Dans l'ensemble, #Kazakhstan établit d'une part des normes de l'industrie par le biais de projets pilotes au niveau national (comme les réserves souveraines, les villes de chiffrement) et d'autre part contrôle les risques grâce à un système strict de licences d'échange. Ce modèle "officiel et dirigé + ouverture progressive" pourrait offrir un nouveau paradigme pour les pays riches en ressources cherchant à explorer la transformation de l'économie numérique.